1 minute pour comprendre la DCSMM avec Anastasia Wolff, chargée de mission « bon état écologique des eaux marines » au ministère en charge de l’environnement :
1 minute pour comprendre la DCSMM avec Anastasia Wolff, chargée de mission « bon état écologique des eaux marines » au ministère en charge de l’environnement :
3 minutes pour comprendre l’impact des déchets en milieu marin avec François Galgani, responsable du groupe technique « déchets marins » pour la DCSMM :
3 minutes pour comprendre l’état écologique des espèces halieutiques commerciales pêchées dans les eaux métropolitaines par Éric Foucher, pilote scientifique « espèces commerciales » pour la DCSMM et chercheur à l’Ifremer :
3 minutes pour comprendre le coût économique et sociale de la dégradation du milieu marin avec Rémi Mongruel, pilote scientifique « analyse économique et sociale » pour la DCSMM et chercheur à l’Ifremer :
3 minutes pour comprendre l’état des mammifères marins dans les eaux métropolitaines avec Jérôme Spitz, pilote scientifique « mammifères marins » pour la DCSMM et chercheur à l’Ifremer :
Selon une étude fondée sur des données satellitaires, un très fort recul de la végétation dans les steppes mongoles est en cours. Il serait largement dû à l’augmentation du bétail dans le pays. Si les variations des précipitations jouent un rôle important, le surpâturage paraît en être la cause principale. Cette baisse de biomasse végétale est loin d’être homogène sur l’ensemble du territoire, et pose encore question. Cependant, dans les zones limitrophes du désert de Gobi, on attribue plus de 80 % de la perte de végétation au cheptel. Et sur l’ensemble du pays, c’est une perte de 12 % de territoire végétalisé qui a été comptabilisée entre 2002 et 2012 (Hilker et al., 2014). Cette dégradation de la steppe se traduit par une désertification qui prend notamment sa source dans le développement d’un commerce lucratif : celui du cachemire.
Si, depuis la sortie de la Mongolie du bloc soviétique en 1990, les produits de l’élevage comme la viande et la laine ont connu un effondrement de leurs prix, le cachemire, lui, se porte bien et l’élevage des “chèvres cachemires” s’est accru.
Si la Chine et l’Inde exploitent toujours les ressources naturelles pour se soigner, l’industrie pharmaceutique repose elle principalement sur des produits synthétisés. Cette tendance est-elle un atout ou un risque supplémentaire pour la préservation de la biodiversité ? Bruno David, directeur du département Recherche substances naturelles aux laboratoires Pierre Fabre, nous éclaire sur les usages et le devenir de ces ressources.