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février 2022  I  Autres supports  I  FRB  I  Biodiversité et santé

Vers une utilisation durable des espèces

Avec le soutien du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères

Auteure : Coline Leandre (FRB)

Relectures : Hélène Soubelet, directrice de la FRB, Agnès Hallosserie, responsable du pôle Coordination européenne et internationale à la FRB et Robin Almansa, chargé de communication (FRB).

L’exploitation non durable des espèces est le premier facteur de diminution des populations pour plusieurs espèces.

Vers une utilisation durable des espèces © Bruno Cesar Barreto

L’exploitation des organismes n’est pas durable lorsque le prélèvement d’individus d’une population se fait au-delà du taux de renouvellement et de l’accroissement biologique de celle-ci, ou lorsque l’activité conduit à une dégradation de l’environnement qui perturbe cette espèce (par exemple, l’écotourisme intensif). Cette exploitation correspond à un service écosystémique d’approvisionnement – et aux contributions matérielles de la nature (dans la typologie de l’Ipbes) – lorsqu’elle vise à se nourrir, se vêtir, se chauffer ou se loger par exemple. Elle correspond à un service culturel – et aux contributions immatérielles de la nature – dans le cas d’activités récréatives ou spirituelles. Au niveau mondial, l’Ipbes estime qu’il s’agit de la 2e cause principale de perte de la biodiversité.

 

La pêche, la chasse, la cueillette et l’exploitation des forêts naturelles (par opposition aux plantations) sont les principales formes d’utilisation des espèces sauvages, entraînant un prélèvement dans la nature. Certaines activités sans prélèvement représentent également une forme d’utilisation.

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